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Vaccins anti-Covid : des députés néerlandais choqués par la réponse de l’Agence européenne du médicament à leurs questions



Le 21 novembre 2023, des eurodéputés ont exposé lors d’une conférence de presse la réponse de l’Agence européenne du médicament à leur demande de suspension des vaccins anti-Covid. Pour eux, leur gouvernement a
mis en danger la santé des personnes vaccinées :  « En contournant et en ignorant plusieurs lois, le comité a sciemment introduit sur le marché des injections potentiellement mortelles ».

◆ Une demande de suspension

Le 4 octobre dernier, l’eurodéputé néerlandais Marcel de Graaff envoyait un courrier avec six autres de ses collègues du Parlement européen à l’Agence européenne du médicament, l’institution « responsable de l’autorisation des médicaments pour le marché européen ». Ils y demandaient plusieurs éclaircissements au sujet des « nombreux problèmes concernant les vaccins anticoronavirus ». « Ces problèmes sont si grands que nous avons demandé à l’EMA leur retrait du marché, et cette réponse contient des faits choquants. »

👉Voir extrait de la conférence traduite en français :

◆ Des communications nationales trompeuses sur la transmission

Marcel de Graaff déclare sans équivoque : « Tout d’abord, l’EMA déclare explicitement qu’elle a donné l’autorisation de mise sur le marché des vaccins anticoronavirus uniquement pour une immunisation individuelle […] Et ceci est dévastateur pour les gouvernements qui sont partis en boucle sur le message que vous vous faites vacciner pour les autres. Rien de tout cela n’est vrai. […] »

« Elle explique dans sa réponse et je cite : “Les rapports d’évaluation sur l’autorisation des vaccins soulignent le manque de données sur la contagion.” En d’autres termes, les vaccins n’étaient pas destinés à empêcher les infections, et il n’y a aucune donnée du tout justifiant que les vaccins aident contre les infections. En fait, l’EMA déclare que l’exposition au virus augmente la probabilité d’infections, même parmi les vaccinés. Les campagnes massives du gouvernement pour vous vacciner, pour protéger vos parents, votre voisin, le plus faible dans la société, non seulement n’étaient pas autorisées, mais aussi un non-sens, non basé sur des faits. »

◆ Des effets secondaires mal enregistrés et évalués ?

« Le gouvernement a soutenu une politique selon laquelle les plaintes ne devaient pas être rapportées pendant les 14 jours suivant la vaccination. Parce que le vaccin aurait besoin de 10 à 14 jours pour devenir efficace. Toutes les plaintes durant cette période étaient écrites seulement pour le coronavirus, et ce n’est pas seulement frauduleux. C’est délibérément mettre en danger la vie des gens. Et je vous rappelle à nouveau que nous luttons encore contre une gigantesque mortalité excessive soi-disant inexpliquée. » Information démentie par l’EMA selon l’AFP : « Les données mentionnant des effets indésirables survenant dans les 14 jours après la vaccination “ne sont pas exclus de la surveillance de sécurité” ». « En termes de surveillance de la sécurité des vaccins, l’EMA et les Etats membres de l’UE ont pris en compte tous les effets indésirables suivant la vaccination Covid, indépendamment de combien de temps a passé entre l’injection et l’effet secondaire. »

◆ Arrêter la vaccination et sanctionner les responsables 

Résumé de la situation selon Marcel de Graaff : les propos de l’EMA « détruisent la politique de vaccination » développée par le gouvernement néerlandais. « Le gouvernement savait que les vaccins ne protégeraient pas contre la dissémination du virus, mais n’ont pas partagé cette information avec les citoyens. Au contraire, il a imposé une vaccination forcée à nos citoyens avec des mensonges. Le gouvernement a caché les effets secondaires et ainsi mis en danger la santé de chaque personne ayant reçu le vaccin. Les campagnes de vaccination devraient être arrêtées aussitôt que possible, elles ne sont simplement pas sûres et elles ne répondent pas aux exigences de l’EMA. Et le gouvernement et tous les partis politiques qui soutiennent cela devraient être tenus pour responsables de leurs mensonges et leur fraude. »

Pourtant, l’Agence européenne du médicament ne semble pas du tout disposée à suspendre les vaccins puisqu’elle affirme qu’elle le ferait s’il existait des preuves que les bénéfices des vaccins sont inférieurs aux risques. Or, pour elle, il existe des preuves que le vaccin protège les vaccinés, « ce qui est particulièrement important pour les personnes vulnérables ». Ôter du marché ces vaccins serait donc une option pour les États membres et les professionnels du soin « qui ne rendrait vraiment pas service à l’Union européenne et à la santé publique ». Et comme elle exprime que le rapport d’un effet secondaire suspecté n’est pas une preuve en soi que le vaccin a causé l’effet en question, peut-on s’attendre à ce que les bénéfices des vaccins soient un jour considérés comme inférieurs aux risques ?

Article par Estelle Brattesani

 

👉 Pour voir la conférence de presse intégrale en anglais :

👉 Lire notre entretien avec Christine Cotton dans notre n° 149 (nov.-déc.2023) :

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