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Des parents d’enfants décédés ou malades suite à l’injection contre la Covid-19 se rassemblent pour la Vérité

« VERITY France » : c’est le nom de l’association en train de se mettre en place, initiée par les parents de Maxime, Mélanie et Sofia, tous trois décédés brutalement après la vaccination contre la Covid-19. D’autres proches de victimes sont en train de les rejoindre, comme Marc Doyer qui était intervenu sur CNews pour parler de son épouse, atteinte soudainement par la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Leur but : obtenir des réponses à leurs questions, faire cesser l’omerta sur les effets indésirables, et éviter à d’autres de vivre cette douloureuse expérience.


Déni et censure

M. Véran semble croire fermement que les décès dus aux vaccins contre la Covid-19 n’existent pas. « Il n’y a pas, à ce stade, de cas de décès avéré imputable à la vaccination », a-t-il déclaré le 15 octobre 2021 face à la commission des lois de l’Assemblée nationale.

Il n’en est pas de même pour tout le monde. Une page Facebook avait été créée pour que puissent être collectés et relayés des témoignages de victimes, ou de proches de victimes, suite à la vaccination contre la Covid-19. Cette page en est à sa cinquième version censurée, avec ses milliers de témoignages. À ce jour, leur sixième page Facebook est toujours accessible, ainsi que leur groupe Telegram pour rester informé. Notre article concernant la censure de Facebook au sujet des effets secondaires indésirables a lui-même été bloqué par le réseau social.


Des médias silencieux et peu respectueux

Sur les plateaux télé, silence radio et déni, voire mépris et condescendance, à l’égard des effets secondaires graves ou des décès post-vaccins Covid. Pascal Praud a été le premier sur CNews à venir faire témoigner en direct le proche d’une victime : Marc Doyer, le mari d’une femme ayant brutalement déclenché la maladie neurologique de la vache folle juste après sa vaccination.

Dans la plupart des articles et les rapports officiels, toujours le même refrain : le lien entre le vaccin et certaines pathologies graves ou les morts ne peut pas être prouvé. Libération a osé poser timidement sur la table qu’« un lien de cause à effet peut être interrogé » pour les 1224 décès post-vaccination indiqués dans le point de surveillance du 24 septembre 2021 de l’ANSM. Argument très vite balayé par le suivant : « à ce stade », rien n’a été « prouvé ». Le journal a également relayé que les deux vaccins à ARN messager Moderna et Pfizer n’auraient causé directement aucun décès, mais pour les vaccins à adénovirus développés par AstraZeneca et Janssen, ils soutiennent que « l’absence de liens est moins évidente. »

Si l’on peut admettre qu’il vaut mieux rester mesuré en n’imputant pas tous les maux de la terre aux vaccins, que dire de ceux qui ne leur attribuent aucune nocivité, qui minimisent ou relativisent cette dernière ? Et puisque cette imputabilité peut être rarement « prouvée »,  on pourrait aussi se poser la question inverse au nom du principe de précaution : comment prouver qu’il n’y a pas de lien ? Et quoi faire en attendant ? Laisser le choix de se faire vacciner ou non, ou continuer de l’imposer ?

L’union dans la réalité

C’est le genre d’interrogations auxquelles les familles et personnes membres de l’association VERITY France, persuadées du lien entre la mort ou la maladie de leur proche et l’injection anti-Covid, vont tenter de trouver des réponses. Après les parents de Maxime, Sofia et Mélanie, c’est le papa de Lucas et la maman de Quentin, deux jeunes victimes de myocardite, ainsi que Marc Doyer, l’invité de CNews, qui ont rejoint l’association.

Sur leur page Facebook, on peut lire l’objectif de leur alliance : « Réunir toutes les personnes de bonne volonté qui ont soif de vérité. ». « Nous sommes trop atomisés, il faut créer une synergie », nous explique Frédéric Beltra, le papa de Maxime Beltra, jeune homme décédé quelques heures après l’injection anti-Covid. « Nous allons interpeller les députés, les sénateurs, les ministres, leur mettre le nez dedans ». Le 27 octobre, VERITY France publiait :

Des soupçons malgré lui

Frédéric Beltra nous a confié qu’il ne s’était posé aucune question au sujet de la vaccination, jusqu’à la mort de son fils. « Je n’étais au courant de rien, je ne savais pas que des gens manifestaient. Je travaillais quinze heures par jour, je payais mes impôts et je n’ai jamais été anti-vaccin. Je ne suis ni farfelu, ni hystérique. » C’est lorsque qu’il a senti un empressement médiatique à écarter tout lien entre la mort de son fils et le vaccin, quitte à mentir pour certains, qu’il a commencé à s’interroger sur le pourquoi d’un tel comportement. Alors que le journal n’avait même pas contacté sa famille, que Maxime n’était pas enterré et qu’aucune autopsie n’avait encore été faite, Midi libre annonçait que Maxime était décédé d’un oedème de Quincke. Ce que n’a pu démontrer une récente autopsie, laquelle a décelé également une myocardite, sans pouvoir attester non plus qu’elle a été la cause de la mort.

Faire sortir le loup du bois

Frédéric Beltra est ferme : « Je ne connais pas tous les tenants et aboutissants de cette injection expérimentale massive, mais je veux savoir pourquoi, alors qu’il est reconnu que les autres vaccins engendrent des décès, on est actuellement face à un rouleau compresseur qui affirme qu’il n’y en a aucun causé par ceux contre la Covid-19. Je veux comprendre aussi pourquoi il peut exister une telle différence dans les statistiques : pourquoi par exemple les effets secondaires en Hollande sont beaucoup plus nombreux qu’en France, alors que la population est bien moindre que chez nous. Et je veux comprendre s’il y a eu allergie, et si oui, à quoi mon fils a été allergique, pourquoi il n’a pas réagi comme d’habitude lors de l’administration du traitement anti-allergique habituel par les urgences. Tout le monde savait ici qu’il était allergique aux cacahuètes. Lui-même était extrêmement vigilant, et personne ne l’a vu ingérer quoi que ce soit qui en  contenait.
Nous avons perdu ce que vous avons de plus cher, nous voulons la vérité, et nous ferons tout pour l’obtenir. Elle est de l’intérêt de tous. Si nous pouvions éviter ne serait-ce qu’à une seule personne de vivre ce que nous traversons, nous en serons très heureux.
»


Voir notre vidéo sur le mouvement des Mamans Louves qui sont allées manifester devant l’Élysée le 4 novembre 2021 pour demander un débat public à Emmanuel Macron au sujet des mesures sanitaires touchant les enfants :

 

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