Science

Préface du livre « Pasteur l’imposteur ? » rédigée par Serge Rader

En 1887, le Dr Auguste Lutaud écrit un livre pour expliquer en quoi le système Pasteur est basé sur une fraude dès l’origine. Republié par les éditions Talma Studios en 2020, le pharmacien et lanceur d’alerte Serge Rader, aujourd’hui disparu, qui militait pour la transparence sur les vaccins et nous mettait en garde contre leurs effets secondaires, en rédigeait la préface que nous vous proposons en accès libre aujourd’hui.

En tant que pharmacien officinal, j’ai dédié l’essentiel de ma carrière professionnelle à la santé publique, que j’ai toujours servie avec honneur et probité, toujours et avant tout dans l’intérêt et le respect des patients, conformément au serment que j’ai prêté au sortir de la Faculté. Or, la réalité d’exercice est tout autre ! Ma conviction, acquise au fil d’années d’expérience, de formatage obligé, voire de tromperies aggravées sur certains traitements, tout cela reçu à mon insu du système sanitaire en place, est que, dans tout ce qui est bien établi, c’est là que se trouvent le plus de possibilités de critiques. Les exemples sont nombreux, les scandales à répétition ne cessant de le démontrer (Vioxx, Mediator, Dépakine, Levothyrox, Méningitec…).

Il en est ainsi des jugements de l’histoire, comme ceux des pratiques médicales et des remèdes proposés tels des panacées : ils dépendent des circonstances, des arrangements politiques du moment et des intérêts financiers, dont les prix exorbitants et injustifiés accordés aux médicaments, notamment oncologiques, pour asseoir l’hégémonie des grands laboratoires.

C’est le cas dans le domaine ô combien tabou des vaccins, dont le seul questionnement sur leur utilité expédie son auteur au banc des accusés pour crime de lèse-majesté et complotisme, avec une sentence inquisitoriale définitive et non argumentée d’« antivax », ramenant ainsi le débat à une rivalité entre pro et anti totalement incongrue et stérile.

Pourtant, il n’est aucun domaine scientifique dont les protocoles ne soient sans cesse revus et corrigés, hormis celui des vaccins, où les questions sur leur efficacité et leur sécurité restent sans réponse, avec des mensonges flagrants et le déni de réalités insupportable, malgré les innombrables faits et preuves attestant de leur dangerosité : il faut religieusement croire en leurs vertus, croire le saint lobby vaccinal et ses nombreux complices assujettis financièrement, qu’ils soient médicaux, politiques ou médiatiques, alors que jamais la contestation n’a été aussi virulente. C’est parce qu’elle est issue d’un nombre colossal de victimes à travers le monde, ignorées par l’intelligentsia médicale aux ordres du nouvel eldorado pharmaceutique.

charte de munich

Et l’on continue néanmoins et sans raison à multiplier le nombre de vaccins et leurs obligations, alors que de récentes analyses chimiques, biologiques et génomiques démontrent que tous ces polyvaccins sont mal contrôlés par les autorités sanitaires en charge, qui laissent carte blanche aux producteurs, en les couvrant même, malgré les compositions délétères constatées. Elles ne répondent donc pas à un besoin essentiel de santé publique, mais aux impératifs et diktats d’une industrie pharmaceutique en mal d’innovations et de profits, dans une course effrénée à la performance boursière.

Un prochain livre à paraître, dans la suite de Vaccins, oui ou non ?, détaillera les nombreux contaminants contenus dans les vaccins analysés par des laboratoires indépendants de haute technicité financés par des citoyens n’ayant plus confiance dans les institutions sanitaires.

En sus des produits toxiques de leur composition (aluminium, mercure du thiomersal non mentionné, formol…), on y retrouve des produits chimiques tels des pesticides, des rétrovirus adventices divers, des protéines animales allergisantes, de l’ADN humain mutagène en grande quantité, etc., source de cancers, d’autisme et de maladies auto-immunes. Et tout cela dans l’indifférence générale des organismes chargés de leurs contrôles, de tous les parlementaires et des médias mainstream pourtant alertés.

Le sujet mérite donc un large débat citoyen, transparent et approfondi, dans l’intérêt des populations, car il est grand temps de remettre en cause le système pasteurien.

C’est pourquoi je porte à la connaissance du public ce livre de 1887, introuvable depuis longtemps, intitulé M. Pasteur et la rage, du Dr Auguste Lutaud, rédacteur en chef du Journal de Médecine de Paris. Déjà du temps de Pasteur, l’imposture était suffisamment flagrante pour qu’un médecin honnête ose l’affirmer, malgré les risques pris en attaquant une icône nationale.

Auguste Lutaud

C’est, effectivement, ce qu’était devenu le chimiste Louis Pasteur, l’inventeur du vaccin de la rage, réputé avoir ainsi sauvé la vie du petit Joseph Meister, âgé de neuf ans, mordu par un chien le matin du 4 juillet 1885 à Maisonsgoutte, une commune du Bas-Rhin. C’est ainsi que la légende – ou le mythe, selon le point de vue – démarre : soixante heures plus tard, le soir du 6 juillet, Pasteur expérimente son vaccin selon le procédé de Pierre Victor Galtier, professeur à l’École vétérinaire de Lyon, tandis que le chien en cause a mordu deux autres enfants et son propriétaire, Théodore Voué, tous trois restés sans vaccination ni séquelles. Et bien en vie…

Un autre cas, celui de Jean-Baptiste Jupille, est aussi officiellement sauvé par le vaccin alors qu’il est démontré par la suite que le chien n’était pas enragé. Tandis que la nouvelle de ces deux victoires commence à faire le tour du monde grâce à ses amitiés journalistiques, Pasteur traite un troisième enfant mordu par un chien inconnu. Il meurt, mais avec les symptômes de la « rage de laboratoire » (version de la maladie qui se développe après vaccination selon le procédé Pasteur, et qui peut conduire jusqu’à la tombe). Les parents portent plainte. Bien que le Pr Brouardel, ami de Pasteur, reconnaisse que ce jeune Jules Rouyer soit décédé des suites du traitement antirabique, il note dans le rapport d’autopsie que le décès fait suite à une crise d’urémie, afin d’étouffer l’affaire. Déjà les mêmes pratiques que de nos jours.

En avril 1890, le facteur Pierre Rascal et un ami sont attaqués par un chien, qui mord sévèrement ce dernier. Il refuse le traitement antirabique et survit. Pierre, protégé par son uniforme, ne présente pas de morsure, mais son administration l’oblige à se faire vacciner. Il décède ensuite de… la rage !

Mû manifestement par d’autres desseins que la science, Pasteur tait les nombreux décès à son actif, et l’engrenage de la gloire et de l’argent fait le reste : il bénéficie de protections diverses, tandis que la presse reste sourde aux protestations du Pr Pierre Jacques Antoine Béchamp, médecin, chimiste et pharmacien, sur cette folie de prévenir la rage en inoculant de la moelle de lapin mort de cette maladie à des individus mordus par des chiens supposés enragés.

De plus, tandis que la rage est un phénomène marginal en France, avec douze à trente victimes annuelles à l’époque et seulement 5 à 16 % des individus mordus par un animal enragé contractant cette maladie, l’introduction du vaccin Pasteur entraîne l’augmentation des décès, mais uniquement dus à la rage de laboratoire.

Parfaitement documenté, le livre du Dr Lutaud prouve indubitablement le mythe du « grand’homme », que l’histoire tente de nous imposer avec son dogme vaccinal « qui sauve des vies ».

Or, M. Pasteur et la rage démontre exactement le contraire, avec des faits et des témoignages implacables, ce qui fait conclure à son auteur que « M. Pasteur ne guérit pas de la rage, il la donne ».

Peu importe, la France a alors besoin de grandeur : n’oublions pas que l’avènement de Louis Pasteur intervient après la perte de l’Alsace-Lorraine, annexée par Bismarck le 10 mai 1871, à la suite de la capitulation de Sedan et la chute du IIe Empire le 2 septembre 1870. Ce fut une onde de choc dans l’opinion publique, avec la capture de l’empereur Napoléon III et l’armée totalement défaite par les Prussiens. La IIIe République naissante jouait sa survie et avait besoin de « clinquant », ce fut Pasteur, avec l’appui du milieu journalistique et politique de l’époque.

Le livre du Dr Lutaud constitue une enquête de portée historique irremplaçable, qui sera rapidement corroborée par de nombreux autres médecins et scientifiques, comme Carlo Ruta, professeur de Matière médicale à l’université de Pérouse, en Italie, qui écrit dès 1899 dans le New York Medical Journal : « La vaccination est une chose monstrueuse ; elle est le résultat malencontreux de l’ignorance et de l’erreur. Elle ne devrait avoir aucune place ni en hygiène, ni en médecine… Il ne faut pas croire à la vaccination ; le monde entier a été plongé dans l’illusion. La vaccination n’a aucune base scientifique ; il s’agit d’une dangereuse superstition dont les conséquences ne peuvent se mesurer que dans la douleur et des larmes sans fin. »

Nous pouvons y ajouter une multitude d’autres observations médicales sans équivoque publiées tout au long du XXe siècle et ensuite, mais retenons la synthèse du docteur belge Kris Gaublomme, car elle est prononcée lors d’un colloque au Parlement européen en 2002 :

« Les vaccins sont donc à l’origine de toute une série de maladies auto-immunes. Les conséquences de ces dernières sont lourdes… Je suis terrifié à l’idée que l’on continue à organiser des campagnes de vaccination massives et qu’on les élargisse d’année en année, sans identifier les causes de ce phénomène. Il est scandaleux qu’aucun gouvernement ne se donne la peine d’évaluer l’impact réel de ces procédures destructrices.

Chers responsables politiques, je m’exprime au nom de nombreux médecins européens lorsque j’affirme que nous ne tolérerons plus que la santé de nos patients, et de la population européenne en général, soit sciemment compromise pour garantir les cotations en Bourse d’entreprises pharmaceutiques… Nous ne supporterons plus que “le bien-être général” serve d’excuse gratuite ! »

Ou encore, l’annonce du Pr Jean-Michel Dubernard, chirurgien transplanteur de Lyon, président de la commission des Affaires sociales, lors d’une table ronde qu’il préside à l’Assemblée nationale en juin 2007 : « Il n’existe pas de preuve scientifique de l’utilité des vaccins. »

Cette nouvelle édition de M. Pasteur et la rage ou Pasteur l’imposteur ? est dédiée aux innombrables victimes innocentes des compositions vaccinales et à leur famille qui ont cru, à tort, à leur bien-fondé entretenu par une intelligentsia médicale asservie, qui n’hésite pas, sans scrupule, à trahir la vérité scientifique pour des intérêts économiques et qui, en plus, leur dénie la réalité de leurs conséquences. Tout aussi grave, la malhonnêteté et le mensonge portés par ces porte-voix immoraux en conflits d’intérêts permanents ne sont pas censurés par les médias complices, alors que ceux qui démontrent la sombre vérité issue du terrain sont discrédités et interdits de parole.

Tout continue avec la pandémie actuelle et l’annonce de vaccins concoctés à la va-vite : les soi-disant experts sèment la peur et échafaudent les pires mesures irraisonnées et coercitives pour contenir, asservir et contrôler les populations, dans un objectif qui semble être la destruction des institutions démocratiques et la restriction des libertés individuelles, tout en générant toujours plus de profit, quel que soit le coût humain.

Pasteur l’imposteur ? contribue à la prise de conscience salutaire de l’inutilité et du danger de certaines thérapies, y compris vaccinales, plus toxiques que bénéfiques pour la santé, qui m’ont amené à quitter ce métier à l’âge de 52 ans, après vingt-six ans d’exercice, pour ne plus cautionner un système pharmaceutique délétère, voire mafieux, et dispendieux pour la collectivité, tandis que des besoins sanitaires primaires restent inassouvis.

 

Serge Rader,
pharmacien, membre de l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB), conseiller scientifique de la Ligue nationale pour la liberté vaccinale (LNPLV) adhérente au Forum européen de vaccino-vigilance (EFVV)

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👉 Visionner notre entretien avec Serge Rader :

 

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