Perronne Santé

« On a bafoué la science ! » : le professeur Perronne alerte le Parlement du Luxembourg le 12 janvier

Critiqué dans le passé par les médias mainstream français quant à ses propos sur la vaccination contre le Covid, l’infectiologue Christian Perronne a maintenu ses positions lors du 48e débat public au Parlement du Luxembourg le 12 janvier 2022.

L’infectiologue Christian Perrone a exprimé sans détour ses positions sur la vaccination contre le Covid lors du débat public au Parlement du Luxembourg le 12 janvier dernier. 

Entouré d’experts, le médecin français a parlé d’une science et d’un droit bafoués, rappelant à l’audience son expérience notable des épidémies et de la vaccination. Au cœur du débat luxembourgeois, deux pétitions se dressent contre la vaccination obligatoire, et notamment celle des enfants.


◆ « On a bafoué la science et le droit »

Spécialisé dans les pathologies tropicales et maladies infectieuses, ce n’est pas la première fois que le médecin se distingue par des discours polémiques, ce qui a conduit le directeur général de l’AP-HP à le démettre de ses fonctions de chef de service de l’hôpital Raymond Poincaré en décembre 2020. Avant d’entamer son plaidoyer, le Pr Perronne rappelle à son auditoire : « Je ne suis pas du tout un anti-vax comme certains médias l’ont dit ». Scandalisé, il a deux messages principaux à faire passer aux députés : « Dans cette crise, on a bafoué la science et on a bafoué le droit », évoquant « des fraudes qui s’accumulent », en référence à  la revue médicale Britannique The Lancet qui aurait cherché à discréditer l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Selon lui, les lobbies auraient dédommagé le journal pour éditer une enquête frauduleuse.


◆ Étude douteuse de Pfizer

Autre étude douteuse rappelée à la mémoire de l’assemblée, celle que dénonçait le British Medical Journal : une partie des études de Pfizer, pour obtenir l’autorisation de leur vaccin, a été mal conduite. « En France les médias n’en n’ont jamais parlé à part un petit encart dans Le Figaro, c’est scandaleux », déplore-t-il. Encouragé à conclure par la présidente Nancy Arendt qui le presse de terminer, c’est avec conviction qu’il insiste sur le manque cruel de recul accordé à ces vaccins, notamment pour les femmes enceintes et les enfants, avançant un délai normal de dix ans en moyenne.

Une semaine après le débat public du 12 janvier, un article du Luxemburger Wort  revenait sur des débats qualifiés de « mal encadrés », déplorant un manque de temps de  parole des pétitionnaires eux-mêmes, laissant le monopole du débat aux experts. Rappelons que les deux pétitions dites 1916 et 1950, au cœur de ce 48e débat public, concernaient l’opposition à la vaccination obligatoire des citoyens et aux vaccins de type thérapie génique pour les enfants.


◆ D’autres personnalités françaises présentes ce jour-là

Autres invités que Christian Perronne lors de ce débat public, des noms bien connus de la lutte contre la gestion de crise sanitaire : Alexandra Henrion-Caude, ou encore Luc Montagnier.

 

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