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« Médecins pour la vérité » : des médecins appellent à la mobilisation pour rétablir les faits sur l’épidémie de Covid-19

Des médecins dans plusieurs pays, unis sous le nom « Médecins pour la vérité », ont organisé une conférence filmée pour expliquer les buts et raisons de leur engagement, donner à d’autres envie de les rejoindre et présenter où en sont leurs travaux.

 

◆ Un mouvement de médecins à visée internationale
Nous vous avions parlé du mouvement qui est en train de se former en Allemagne pour exiger une commission d’enquête indépendante au sujet du COVID-19 (lire notre article sur le sujet), ainsi que des médecins américains qui ont fait une conférence de presse largement censurée pour donner leur point de vue sur les restrictions sanitaires et les incohérences de la gestion de la maladie. Ils ne sont pas les seuls. L’Espagne et l’Argentine sont également de la partie  au sein du mouvement « Médecins pour la vérité ». Dans un communiqué contenant la conférence et sa traduction en français, le groupe déclare réunir 500 médecins en Allemagne, et 140 en Espagne. « Nous avons également établi des contacts avec des groupes similaires en Bolivie, Argentine, Colombie, Mexique, États-Unis, etc. pour nous rassembler et collaborer en tant que « Médecins du monde pour la vérité ».

◆ Une vidéo censurée sur Youtube
Une fois de plus la censure a frappé car la vidéo ne relayait pas que des infos validées par l’OMS, et leur conférence traduite en français n’est désormais plus accessible sur le lien initial.


D’autres internautes la proposent en version originale que vous trouverez ici. Nous avons pu trouver quelques extraits en français que vous verrez dans la vidéo ci-dessous.


◆ Des médecins accusés d’être négationnistes
Il arrive que les médecins de ce mouvement soient traités de « négationnistes ». Quand on lit leur communiqué, ils ne renient en rien l’existence de la maladie ni le fait qu’elle cause des morts. En revanche, ils remettent bien en cause les méthodes sanitaires appliquées par les gouvernements, les discours officiels à grande échelle au sujet des masques, des distances à tenir entre les gens, des traitements médicamenteux, des vaccins, et de la politique de « terreur » utilisée.

◆ Des mesures inadéquates prises par les gouvernements selon eux
S’ils expriment toute leur gratitude pour le travail effectué par toutes les personnes soignantes et non-soignantes en prenant en compte « que tous ces efforts ont été réalisé avec les connaissances d’alors et la meilleure volonté. », ainsi que leur soutien aux familles des victimes, selon eux, « beaucoup des mesures implémentées, nous le savons aujourd’hui, n’ont pas été les plus adéquates. Certaines d’entre elles ont eu et ont encore davantage de préjudices que de bénéfices. C’est la raison principale pour laquelle nous avons créé ce collectif que nous avons appelé « Médecins pour la vérité – Espagne ».

◆ Démasquer les incohérences et mensonges
Ils ne prennent pas des pincettes tout en restant respectueux : « Il y a beaucoup de mensonges, ou du moins de manque de rigueur scientifique, dans cette pandémie de COVID-19. (…) D’un point de vue épidémiologique, il n’y avait aucun fondement pour justifier les mesures sociales et sanitaires qui ont affecté toute la population saine. Le collectif cite notamment des documents officiels issus tout droit de l’OMS pour appuyer ses affirmations. Exemple : « L’OMS déclare, dans son rapport du 5 juin 2020, qu’il n’y a pas de preuves scientifiques que le port du masque protège la population saine. 5…) Elle a également à son tour décrit les effets négatifs du port généralisé du masque sur la population saine : difficultés respiratoires, maladies respiratoires, auto-contamination, contamination de l’environnement, altération de conduite aggravée, risque dans la manipulation de ces masques par les enfants et les personnes souffrant de troubles psychiatriques, risque élevé d’utilisation en milieu chaud et humide. »


◆ Des vaccins en cours dangereux et des traitements existants non reconnus
Ils affirment également « qu’injecter un nouveau vaccin pourrait provoquer une maladie beaucoup plus grave que l’on désignera ensuite comme nouvelle vague ou comme nouveau foyer. Enfin, il y a un traitement à la COVID-19, qui n’est pas le Remdésivir. Les études sur cet antiviral ne valent rien et ce produit ne soigne pas la COVID-19 sous sa forme grave. Nous avons observé que la COVID-19 commence avec des symptômes légers qui peuvent s’aggraver chez certaines personnes après une semaine. Quand le syndrome est encore léger, il peut être soigné avec de l’hydroxychloroquine. En revanche, lorsque le syndrome est grave, l’hydroxychloroquine n’aide pas et il faut un support vital. »

◆ Le confinement : une façon de nuire
Pour eux, les dégâts collatéraux du confinement sont énormes : « L’impact du confinement sera dévastateur tant au niveau économique que de la santé. En effet, le confinement rend difficile l’accès aux soins : annulation de rendez-vous, pas de visite chez le médecin, le dentiste ou le kiné, annulation d’opérations, retard de diagnostique car les patients ne sont pas reçus, etc. Tout ceci provoque déjà des morts.  (…) Certains enfants vivent un enfer, notamment dans les bidonvilles de migrants de Níjar (Almería) ou Lepe (Huelva), ou encore dans les quartiers d’extrême pauvreté comme la Cañada Real ou celui de Tres Mil Viviendas. Le confinement condamne un grand nombre de ces enfants et familles à vivre sans internet, sans eau potable, sans nourriture. »

◆ D’autres vagues épidémiques attendues
Même s’ils déclarent que des mesures sanitaires drastiques ont été prises au moment où l’épidémie avait disparu, ils n’écartent pas pour autant la possibilité que la ou les maladies reviennent. « L’établissement de cette commission extra-parlementaire d’investigation, qui intégrera toutes sortes de professionnels de tous les domaines impliqués, tant dans la gestion que dans l’évaluation de la pandémie, ou les conséquences de celle-ci, a pour finalité d’extraire des conclusions utiles pour le futur. Seront les bienvenus dans cette commission tout ceux qui pourront apporter leur travail et expérience pour évaluer tout ce qui s’est passé et proposer des stratégies efficaces pour le futur. Ceci est très important car, apparemment, il y a des grandes probabilités que de nouveaux foyers de cette maladie apparaissent, voire même d’autres maladies. »

◆  Un groupe accusé d’être d’extrême-droite
Est-ce parce qu’ils disent qu’ils annoncent ceci que ces qualificatif leur est attribué ? « Après la chute des économies nationales, un régime de type communiste sans appellation sera mis en place par la force. C’est déjà le cas en Argentine et en Espagne qui ont des régimes politiques d’extrême gauche. » S’il faut toujours rester vigilant quant à la tournure politique que peuvent nourrir des arguments scientifiques, il n’en reste pas moins que ce mouvement reste ouvert à tous.

Une invitation citoyenne à regrouper toutes les compétences
Il n’y a pas que des médecins au sein du mouvement : « Parallèlement, nous avons encouragé la création d’autres groupes de travail qui intègrent des professionnels hautement impliqués dans cette pandémie: « Professionnels de la santé pour la vérité », « Psychologues pour la vérité », « Avocats pour la vérité » et, peut-être la plus importante, « Médecins et scientifiques pour la vérité » qui sera le groupe principal dans la constitution de la future commission extra-parlementaire d’investigation – Espagne. Et enfin un dernier groupe ouvert, « Citoyens pour la vérité », auquel toute personne qui le souhaite peut se joindre, qui sera un canal de diffusion où nous partagerons des informations. »

◆ Un appel à les rejoindre
« Sont les bienvenus dans ces groupes tous ceux qui souhaitent s’informer, partager des initiatives, des ressources ». Est-ce qu’ils seront rejoints bientôt par d’autres pays ?  La France va-t-elle bientôt participer ? Les semaines qui suivront nous le diront.

 

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