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Un présentateur anglais se lâche au sujet du vaccin Pfizer sur GB News (VIDÉO)

Le présentateur Mark Dolan n’a pas mâché ses mots en plein direct suite à l’intervention d’une porte-parole de Pfizer devant le Parlement européen qui a déclaré que la transmissibilité de la Covid-19 n’avait pas été testée avant la mise sur le marché de leur vaccin anti-Covid.

 

Pour Mark Dolan, toutes les personnalités qui nous ont contraints à nous faire vacciner ont « du sang sur les mains ». Pas si simple pour certains fact-checkeurs.

◆ La transmissibilité non étudiée au moment de la mise sur le marché

Le 10 octobre 2022, des représentants de l’industrie pharmaceutique étaient invités à venir échanger avec les députés du Parlement européen (et non pas néerlandais, comme le dit Mark Dolan) à Bruxelles, en Belgique. Était présente Janine Small, présidente des marchés internationaux développés chez Pfizer, laquelle a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos (Groupe des Conservateurs et Réformistes) : « Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prête à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

Mme Small a répondu « non » et a expliqué que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ».

Rob Roobs a aussitôt publié sur Twitter le message suivant : « Lors de l’audience sur la Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Des propos repris en Grande-Bretagne 

Genre de propos repris par le présentateur britannique Mark Dolan le 12 octobre 2022 sur la chaîne nationale GB News : « Les autorités qui ont déclaré qu’on arrêterait la propagation avec un vaccin, c’était un mensonge total. Le faire pour protéger mamie, de la supercherie historique. »

Il va jusqu’à affirmer que « les théoriciens de la conspiration, les brigades des chapeaux en fer-blanc, les soi-disant anti-vax qui n’étaient rien de tel mais voulaient simplement un choix personnel, avaient raison depuis le début. »

◆ Une vision biaisée et trompeuse pour certains

Des arguments biaisés et trompeurs, selon des articles de fact-checking comme celui de TF1 Info : « Lorsque les autorités sanitaires en charge des médicaments ont autorisé les vaccins en Europe, c’est bien leur capacité à réduire de façon significative les formes graves qui a été jugée. Ce n’est que par la suite, lorsque les populations ont commencé à être massivement vaccinées, que l’impact sur la transmission a été mesuré. »

De plus, il n’a pas été caché par le laboratoire que le degré de transmission était inconnu. Le jour de la publication des résultats des essais du vaccin Pfizer, le 8 décembre 2020, l’agence américaine Food and Drug Administration (FDA) indiquait : « À l’heure actuelle, on ne dispose pas de données permettant de déterminer la durée de la protection conférée par le vaccin, ni de preuves que le vaccin prévient la transmission du SAR-CoV-2 d’une personne à l’autre. »

TF1 Info cite également l’immunologiste Stéphane Paul qui déclare que suite aux injections parmi la population, on a « observé un consensus scientifique sur le fait qu’il y avait une réduction de la transmission ». L’expert poursuit : si « les chiffres sont inférieurs à ceux de la réduction des formes graves, ils restent intéressants malgré tout ».

◆ Des données non durables et donc non fiables ?

Stéphane Paul reconnaît néanmoins « que cette protection des vaccins contre l’infection diminue avec le temps et qu’elle n’est pas infaillible ».

Libération souligne qu’en juin 2021 leur média partageait le fait que plusieurs études récemment sorties étaient « venues illustrer de manière convaincante l’existence, pour les vaccinés, d’une baisse mesurable du risque de formes asymptomatiques, ainsi que du risque de transmission du virus vers autrui ». Juste avant de préciser que ce constat a été rapidement remis en question avec l’émergence de certains variants fin 2021, ce qui remet en doute la réduction de la transmission lorsqu’on est vaccinés…

◆ Une campagne mensongère et diffamatoire

Notons qu’avant juin 2021, à l’époque où des études sur l’efficacité du vaccin anti-Covid sur la transmission du virus n’étaient pas encore publiées, les vidéos de communication incitant à se faire vacciner pour protéger les autres étaient déjà diffusées, comme celle-ci en mars 2021. On peut donc parler de mensonge, de manipulation et de pression psychologique exercée sur la population.

Pourtant, les personnes appelant au choix vaccinal ont été largement dénigrées. Mark Dolan leur consacre une partie de son intervention télévisée : « Joe Biden a parlé d’une pandémie de non-vaccinés. Andrew Neil, un ancien de cette paroisse, de punir les non-vaccinés. Jeremy Vine, au sens figuré, a conseillé de plaquer les gens au sol et de les piquer de force. Curieusement, Justin Trudeau, le fasciste souriant du Canada, a traité les non-vaccinés de racistes, un peu fort et osé de la part d’un homme célèbre pour son visage noir. »


◆ Des propos biaisés du côté des défenseurs du vaccin

Il est intéressant de remarquer que les médias de fact-checking, s’ils aiment essayer de prouver que la vaccination a évité à certaines personnes de mourir de la Covid-19, oublient très souvent les victimes qui en ont pâti. Contrairement à Mark Dolan : « Bien qu’il soit sûr pour la plupart, quoique nous ne puissions en être certains, nous ne disposons pas de données à long terme, un grand nombre de gens dans le monde ont souffert d’effets secondaires graves. Et certains, dont l’ancienne présentatrice de la BBC Lisa Shaw , sont morts. Lisa, une femme en bonne santé d’une quarantaine d’années, ici avec son mari Gareth. Statistiquement, elle n’avait pas besoin de ce vaccin. Mais partie de l’idée qu’elle aidait les autres, d’une façon ou d’une autre, elle l’a fait pour l’équipe. Elle n’est plus là maintenant. Son mari est veuf, son jeune fils n’a plus de maman. »

Mark Dolan est intransigeant envers ceux qui ont participé à l’injonction vaccinale en diffusant un message d’innocuité sans preuve : « Nous n’oublierons jamais les politiciens, entreprises, célébrités et médecins de télévision en vue qui nous ont inutilement contraints à nous faire vacciner. Ils ont du sang sur les mains. Ne pardonnez jamais. »

Article par Estelle Brattesani

 

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