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Vaccins anti-Covid : Alexandra Henrion-Caude dénonce un « négationnisme des effets indésirables »

La généticienne Alexandra Henrion-Caude était l’invitée d’André Berkoff le 23 juin 2022 pour la quatrième fois depuis le début de la crise Covid.

 

Malgré le fait qu’on dresse d’horribles tableaux d’elle et qu’on la taxe de complotisme, Alexandra Henrion-Caude n’a pas changé de cap depuis deux ans et demi et continue à lancer l’alerte. Pour elle, la vaccination contre la Covid-19 n’est pas une affaire qui gagne, mais une affaire « qui signe son échec ».

◆ De nouveaux automatismes

Le constat d’Alexandra Henrion-Caude est sans appel : « Les éléments de langage deviennent de plus en plus catastrophiques. On acquiert un nouveau langage. Par exemple, il devient “banal” qu’une femme soit ménopausée à 30 ans. […] Ça devient “normal” qu’on parle de myocardite, péricardite […] que des jeunes en souffrent. […] Quand on vaccine une population à hauteur de 85, 90, 95 %, il est “normal” de voir des pics épidémiques resurgir et donc d’alterner des campagnes de vaccination, des pics épidémiques, des campagnes de vaccination, des pics épidémiques, et on a l’impression qu’on prend ce rythme. »

Les dérives de la médecine

« Je crois qu’on est tombés dans une propagande sur un produit qui n’a pas fait ses preuves, qui n’a pas apporté la protection que nous aurions aimé qu’il apporte. »

« Je souffre au quotidien parce que moi je suis confrontée tout le temps aux victimes de ce système. »

« On a dérivé en même pas deux ans vers une médecine qui ne parle que d’une maladie […], en l’occurrence le Covid. Je crains que ce soit la médecine d’une autre maladie : là, en Angleterre, on est en train de parler de cas de polio, on a parlé aussi des cas de variole du singe.

« On voit poindre le fait qu’on devienne à chaque fois une médecine d’une maladie, avec une seule solution thérapeutique, qui est évidemment la solution vaccinale, dite vaccinale, parce que ce sont tout le temps en vérité des injections géniques qui nous sont proposées. »

◆ Toujours le même refrain

« On voit ce rythme qui est en train de prendre racine, où on alterne trois étapes. Première étape : on nous fait peur en disant “ouh là là, y’a un nouveau variant, une nouvelle vague qui va arriver et on est en plein dans cette psychose qui revient”. […] Deuxième étape : on vous dit qu’il faut vous séparer les uns des autres. C’est là que je dis qu’on traite la population saine comme si elle était malade. […] On doit se séparer, ne plus se toucher, ne plus se serrer la main, mais se donner des coups de poing, mettre des masques et se tester et s’isoler. »

« Et la troisième étape, c’est “J’ai une solution pour vous, rassurez-vous, c’est cette vaccination chronique, ce fameux AVC : abonnement vaccinal chronique.” »

◆ Pourquoi une quatrième dose ?

« Les bras m’en tombent. En général, on dit “on ne change pas une affaire qui gagne”, alors je me demande où est le gain parce que là, en revanche, ce n’est pas une affaire qui gagne, c’est une affaire qui signe son échec. […] Si vous êtes vacciné contre le tétanos et que vous chopez le tétanos, est-ce que vous allez me dire que le vaccin fonctionne et qu’il faut reprendre une dose ? Logiquement, vous réagissez sainement et vous dites “j’étais pas protégé par ce vaccin”. Alors pourquoi n’avons-nous pas la même conclusion sur ces vaccins anti-coronavirus ? »

« Quelle mouche nous a piqués pour que nous ne comprenions pas qu’à partir du moment où nous sommes vaccinés, nous devons être protégés ? Que si nous ne sommes pas protégés, c’est que le vaccin ne fonctionne pas. Et, pire que cela, ce vaccin a des effets indésirables très importants. »

◆ Une mascarade institutionnelle ?

« Je sais que le gouvernement a donné l’apparence, la mascarade d’écouter, d’auditionner des victimes au Sénat, mais quand on lit leur rapport et quand on voit que les noms de mes collègues, en l’occurrence le Dr Amine Umlil et le Dr Aure Saulnier, ne figurent pas dans les propos rapportés dans cette audience alors qu’il n’y avait que trois voix dissonantes contre les autres, contre une dizaine d’autres, je dis qu’il y a un problème. Je vais même aller plus loin : je vais même parler de négationnisme de la réalité des effets indésirables, parce qu’effectivement, nous y sommes confrontés. »

Éviter la forme grave : un mythe ?

« Quand la base de données de l’OMS vous rapporte 3,9 millions d’effets adverses graves, vous vous dites : “Bon ben, c’est pas que dans ma tête.” »

Voir le recensement des potentiels effets secondaires sur le site de VigiAccess à la date du 29/06/2022 :

 

Alexandra Henrion-Caude montre un graphique à la caméra.

« On voit la distribution par âge de ces effets indésirables graves. Et vous voyez évidemment que celles des extrémités vont être les plus jeunes et les plus vieux respectivement. Et que celle du milieu, celle la plus importante, ce sont les 18-44 ans. Cela pour moi est très préoccupant. »

« Je ne fais pas partie de ceux qui ont dit “tout le monde va mourir”, vous le savez très bien. Je vous ai dit […] sur la base des données de Pfizer, il y avait plus de formes graves du Covid chez les vaccinés que dans le groupe placebo. Les gens s’attachent fortement à ce que ça protège des formes graves. Alors ça, c’est vraiment le dernier bastion.
Il y a vraiment un décalage, et je le comprends, parce que quand vous avez quelque chose auquel vous croyiez, et vous pensiez que c’était bien. Ou alors, vous l’avez fait, pire, contraint et forcé, pour des raisons de pass […], à ce moment-là, vous allez trouver toutes les justifications de la terre, parce que vous ne pouvez pas vivre dans l’angoisse.
»

◆ Arrêtons de croire qu’il n’y a qu’une solution

« Pourquoi j’alerte autant ? Parce que je considère qu’il y a toujours des solutions et que c’est parce que vous avez été injecté par quelque chose qui effondre régulièrement votre réponse immunitaire qu’il n’y a pas une solution. Quelle est la solution ? Arrêter de vous injecter. »

« Continuons à soigner, mais arrêtons de faire une médecine d’une seule maladie, et arrêtons de faire croire qu’il n’y a qu’une seule solution, surtout qu’elle démontre ses limites, non seulement dans la réponse à la maladie, mais en plus sur les effets indésirables. […] Et réhabilitons le fait de se laver les mains. J’entends trop d’écoles où il n’y a toujours pas de savon dans les toilettes. Je suis désolée de dire qu’on ne peut pas d’un côté dire “on va tous mourir d’une maladie” et ne pas avoir de savon accessible. »

👉Voir l’entretien intégral sur Sud Radio du 23 juin 2022 :

 

👉 Lire notre article du 14 mars 2022 sur la séquence brevetée par Moderna retrouvée dans le SARS-CoV-2, avec notre interview d’Alexandra Henrion-Caude :

 

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