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COVID-19 : 966 décès recensés aux États-unis suite à la vaccination entre le 14 décembre et le 19 février

Selon un article du The Epoch Times du 6 mars 2021 dont nous vous proposons une traduction, les rapports font état de 966 décès entre le 14 décembre 2020 et le 19 février 2021, suite à la vaccination contre la COVID-19 à base de vaccins à ARN messager. On y lit aussi que le taux de mortalité suite à ce type de vaccins est beaucoup plus élevé que celui contre la grippe.

Voir l’article original en cliquant ici.

◆ Précisions avant de lire l’article :

– Le VAERS (The Vaccine Adverse Event Reporting System) est un système qui permet de déclarer les effets secondaires des vaccins à tout citoyen américain.
– Les CDC (Centers for Disease Contro and Prevention) sont l’ensemble des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies qui forment la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique.
– La FDA (Food and Drug Administration) est l’agence américaine des denrées alimentaires et des médicaments. 

◆  Les rapports d’incidents indésirables

Selon les rapports d’incidents indésirables recueillis par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA), 966 personnes sont mortes après avoir reçu un vaccin à ARNm pour le COVID-19.

Entre le 14 décembre et le 19 février, 19 769 déclarations ont été faites au système chargé de relever les effets indésirables des vaccins (VAERS) suite à des immunisations avec les vaccins à ARNm Moderna ou Pfizer BioNTech (Les deux seuls vaccins administrés pendant la période évaluée). À l’heure actuelle, les données du VAERS ne sont plus disponibles après le 19 février.

Les 966 décès représentent 5 % du nombre total de rapports d’effets indésirables. Parmi ceux qui sont décédés, 86 (8,9 %) sont morts le jour même où ils ont reçu l’injection. 129 autres (13,4 %) sont morts dans la journée. 97 autres sont morts dans les deux jours, et 61 dans les trois jours.

Au total, 514 (53,2 %) sont morts dans la semaine. 173 sont morts dans les 7 à 13 jours. 106 dans les 14 à 20 jours.

85 % des décès sont survenus chez des personnes de plus de 60 ans. En-dessous de 60 ans, il y a eu cinq décès chez les 20-29 ans, 8 chez les 30-39 ans, 20 chez les 40-49 ans et 57 chez les 50-59 ans.

Pour des informations détaillées tirées des rapports du VAERS, voir les tableaux fournis en lien à la fin de cet article.

◆ Comparaison avec les vaccins antigrippaux

Aucun des vaccins à ARNm n’est approuvé par la FDA, mais ils disposent d’une autorisation d’utilisation d’urgence (AUE). Ils se distinguent des vaccins traditionnels en ce sens qu’ils n’utilisent aucune partie de l’agent pathogène suspect pour stimuler le système immunitaire, mais plutôt l’ARN messager des nucléosides.

Le Dr Christian Perronne, responsable des maladies infectieuses à l’Hôpital de Garches en France, a déclaré dans une plainte déposée en Europe :
« Les premiers vaccins qu’ils nous proposent ne sont pas des vaccins. Ce sont des produits de thérapie génique. Ils… injectent des acides nucléiques qui vont amener nos propres cellules à produire des éléments du virus ».

Le taux de mortalité suite à la vaccination COVID à ARNm est beaucoup plus élevé que celui suite à la vaccination contre la grippe.

Les données du CDC ne permettent qu’une estimation approximative du taux de mortalité suite à la vaccination antigrippale.

Pour la saison grippale 2019-2020, le CDC rapporte que 51,8 % de la population américaine a reçu un vaccin, soit environ 170 millions de personnes.

Le VAERS rapporte qu’au cours de l’année civile 2019 (et non de la saison grippale 2019-2020), il y a eu 45 décès suite à la vaccination. Pour situer le contexte, le VAERS fait état de 46 décès en 2018 et de 20 décès en 2017.

Les 45 décès en 2019 se produisent à un taux de 0,0000265 %, lorsqu’on le calcule en utilisant le nombre de vaccins administrés pendant la saison grippale 2019-2020.

Au 19 février, 41 977 401 vaccins COVID avaient été administrés et 966 décès ont été signalés suite à la vaccination, ce qui représente un taux d’environ 0,0023 %.

◆ Le système VAERS

Le VAERS a été mis en place en 1990, pour saisir les réactions imprévues des vaccins.

Le VAERS est critiqué à la fois pour le fait que n’importe qui peut soumettre un rapport et pour le fait qu’il ne capte qu’une partie des effets indésirables.

Le site web du VAERS décrit le système de cette manière : « Créé en 1990, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est un système national d’alerte précoce destiné à détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. Le VAERS est cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. Le VAERS accepte et analyse les rapports d’événements indésirables (effets secondaires possibles) après qu’une personne a reçu une vaccination. Tout le monde peut signaler un événement indésirable au VAERS. Les professionnels de la santé sont tenus de signaler certains effets indésirables et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les effets indésirables qui sont portés à leur connaissance. (…)

Le VAERS est un système de notification passif, ce qui signifie qu’il repose sur les individus qui envoient des rapports sur leurs expériences aux CDC et à la FDA. Le VAERS n’est pas conçu pour déterminer si un vaccin a causé un problème de santé, mais il est particulièrement utile pour détecter des déclarations d’effets indésirables inhabituelles ou inattendues qui pourraient indiquer un éventuel problème de sécurité d’un vaccin. De cette façon, le VAERS peut fournir aux CDC et à la FDA des informations précieuses sur la nécessité d’un travail et d’une évaluation supplémentaires pour mieux évaluer un éventuel problème de sécurité ».

Sans diagnostic médical ou autopsie, le rapport d’un incident indésirable suite à une vaccination ne constitue pas une preuve que la vaccination a causé des symptômes particuliers.

Dans une réponse au journal The Epoch Times, Steven Danehy, directeur des relations médiatiques mondiales de Pfizer, a écrit à propos du rapport de décès du VAERS : « À ce jour, des millions de personnes ont été vaccinées avec notre vaccin. Les événements indésirables graves, y compris les décès qui ne sont pas liés au vaccin, sont malheureusement susceptibles de se produire à un rythme similaire à celui de la population générale ».

Moderna n’a pas répondu aux demandes de commentaires.

La base de données VAERS est très riche en informations et peut être difficile à suivre pour certains utilisateurs. L’Epoch Times a extrait ses données aussi clairement que possible dans les graphiques fournis dans le lien ci-dessous.

Summary_of_VAERS_deaths_through_Feb_19th

 

Sous l’onglet « All Deaths Readable », on peut trouver :
des descriptions de ce qui est arrivé aux patients
– les effets qu’ils ont subis tels que rapportés par les travailleurs de la santé et/ou les parents, ou d’autres témoins
– les numéros d’identification VAERS (utilisés pour rechercher un dossier complet dans la base de données VAERS)
– le type de vaccination
– le fabricant
– le nom de la vaccination
– la date de réception
– l’âge
– le sexe
– l’état de chaque destinataire, les antécédents médicaux et les autres médicaments que les patients prenaient.

 

Auteure : Celia Faber pour the Epoch Times

Traduit par le Magazine Nexus à l’aide de Deepl

Image par torstensimon de Pixabay


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