Santé

Vaccin antigripal : la grande imposture

S’ils n’ont jamais prouvé leur efficacité, leur toxicité, elle, est bien établie.

Des tests effectués sur des vaccins au Natural News Forensic Food Lab ont montré qu’un vaccin antigrippal fabriqué par GlaxoSmithKline (lot #9H2GX) contenait du mercure à un taux beaucoup trop élevé.

Les tests, très précis, ont été réalisés par ICP-MS (spectrométrie par torche à plasma) à l’aide d’une courbe d’étalonnage quadrupôle. Ils montrent que le taux de mercure dans le vaccin Flulaval s’élève à 51 parties par million, soit plus de 25 000 fois le maximum qu’autorise l’Environmental Protection Agency pour la contamination de l’eau potable par le mercure inorganique.

Or, on ne dispos pas d’éléments prouvant que la vaccination par le Flulaval a permis de diminuer l’incidence de la grippe, ni que le vaccin est inoffensif et efficace chez les femmes enceintes, les mères allaitantes et les enfants. Et aucune étude n’a analysé son potentiel carcinogène et mutagène ou son impact sur la fertilité.

L’injection de Flulaval s’accompagne d’effets indésirables : vomissements, douleurs thoracique, oedème allergique de la bouche, choc anaphylactique, laryngite, arthrite, vertiges, syndrome de Guillain-Barré, paralysie faciale ou des nerfs crâniens, convulsions, paralysies des membres, encéphalopathie, insomnie, etc.

Chaque dose de Fluval peut contenir en plus des µg de mercure, jusqu’à 25 µg de désoxycholate de sodium (un détergent biologique). Le mercure n’est jamais inoffensif ; toutes ses formes, hautement toxiques en injection, perturbent le fonctionnement cérébral.

Il n’existe pas de preuves scientifiques suffisantes quant à l’innocuité et à l’efficacité des vaccins contre la grippe. Nous ne sommes pas certains qu’ils agissent. Pas plus que les fabricants. Ni les médecins et le personnel médical qui les administrent.

Article paru dans NEXUS n°94 (septembre-octobre 2014).