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« Turbo-cancer » et vaccin anti-Covid : une plainte pour empoisonnement avec préméditation

Une infirmière de 58 ans, vaccinée deux fois contre le Covid, est décédée en septembre 2023 d’un cancer fulgurant. Aujourd’hui, son mari porte plainte pour « empoisonnement » avec préméditation.

◆ Emportée en trois mois

L’épouse de Pierre Lehoux était infirmière en psychiatrie dans un centre médico-psychologique de l’ouest de la France. Suite à la promulgation de la loi du 5 août 2021 rendant obligatoire la vaccination contre le Covid-19 pour les personnels soignants, elle a reçu une première dose de vaccin sans ARN messager le 24 août 2021. Puis elle s’est pliée à une seconde injection le 13 janvier 2022, cette fois-ci avec un vaccin à ARN messager (ARNm).

Mais en juin 2023, cette femme de 58 ans, jusque-là en parfaite santé, s’est mise à se sentir mal et à avoir des vomissements. Investigations faites, on lui diagnostique en juillet « un adénocarcinome du pancréas oligométastatique hépatique et surrénalien gauche », rapportent nos confrères d’Info du Jour. Un cancer qui évoluera de manière fulgurante et dont elle décèdera deux mois plus tard, le 16 septembre 2023.

◆ La conviction que le vaccin est responsable du « turbo-cancer »

Aujourd’hui remis de son deuil, son mari a rassemblé la documentation nécessaire et décidé de saisir la justice. Il a déposé une plainte auprès du doyen des juges d’instruction du tribunal judiciaire de Paris pour « empoisonnement » avec préméditation.

« Par mes recherches et les attestations de scientifiques présentées à l’appui de la plainte, j’ai la ferme conviction que l’injection anti-Covid-19, et particulièrement la dernière reçue le 13 janvier 2022 avec un vaccin à ARN messager, a causé le “turbo-cancer” de ma femme », explique Pierre Lehoux à Info du Jour.

◆ Un consentement non éclairé

« Je veux simplement savoir ce qui s’est passé, souligne le veuf. Je veux savoir pourquoi ce produit à ARN messager extrêmement dangereux (comme le prouvent les études d’avant 2020 jointes à la plainte) lui a été injecté alors qu’il existait de nombreux traitements pour guérir de la Covid-19. Je veux savoir pourquoi l’injecteur ne lui a pas annoncé tous les effets secondaires possibles avant de lui injecter 14 000 milliards d’ARN messagers. »

Pour Pierre Lehoux, le consentement de sa femme n’a pas été « éclairé », puisque l’injecteur ne lui a pas fourni une information adéquate quant aux conséquences et aux risques connus du produit au moment de l’injection. Il aurait « dû lui indiquer que, dès le mois de mai 2021, le site officiel de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) […] faisait état (en 5 mois seulement de vaccinations) de plus de 20 000 déclarations d’effets indésirables, dont 25 % graves, et 900 décès ! »

◆ Des risques favorisant le cancer parfaitement connus au moment de l’injection

La plainte précise également que d’autres dangers liés aux vaccins anti-Covid à ARNm étaient « parfaitement connus avant la vaccination de [son épouse] », notamment que ce type de vaccin « neutralise la protéine P53, protection anti-cancer naturelle », « cause un dérèglement du système rénine-angiotensine favorisant les cancers », « contient des milliards de particules lipidiques toxiques cancérigènes », et « a fait l’objet de manipulations de son codage génétique causant la production de protéines “fantômes” aux buts inconnus ».

◆ Pourquoi la protéine la plus dangereuse du virus a-t-elle été choisie pour les vaccins ?

« Si tous les effets secondaires connus avaient été portés à la connaissance de ma femme, elle ne se serait certainement pas fait injecter », assure Pierre Lehoux, qui voudrait également savoir pourquoi les fabricants ont choisi d’utiliser la protéine Spike du SARS-CoV-2 pour leurs vaccins, dont on savait qu’elle avait été manipulée (gain de fonction) et contenait un site furine atypique (breveté par Moderna) et des insertions du VIH, plutôt que d’utiliser la protéine N (nucléocapside) du SARS-CoV-2, beaucoup moins délétère pour l’organisme et qui aurait sans doute été plus efficace, selon l’attestation de Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et en biologie moléculaire, jointe à la plainte (annexes p. 49 et 50).

Article par Alexandra Joutel

(Image par Triggermouse de Pixabay)

Lire notre dossier « Covid long, séquelles vaccinales, contamination par shedding vaccinal : la guérison est possible », également paru dans le n° 158 du magazine Nexus (mai-juin 2025) actuellement en kiosque.

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