Élever la conscience de l’Homme, sur les pas de Srî Aurobindo
Notre monde craque de partout. Quel avenir le présent prépare-t-il à l’Homo sapiens du XXIe siècle ? Une sixième extinction, disent certains. Pourtant, d’autres, dans un passé pas si lointain, travaillaient à la transmutation de notre être conscient. Leur démarche prend encore plus de poids avec les découvertes actuelles sur la conscience. Peindre les choses […]
Notre monde craque de partout. Quel avenir le présent prépare-t-il à l’Homo sapiens du XXIe siècle ? Une sixième extinction, disent certains. Pourtant, d’autres, dans un passé pas si lointain, travaillaient à la transmutation de notre être conscient. Leur démarche prend encore plus de poids avec les découvertes actuelles sur la conscience.
Peindre les choses ainsi et en rester au constat désolant d’une possible extinction de notre espèce revient à fermer les yeux sur une réalité moins sinistre. Dans notre jungle sociale surpeuplée de prédateurs humanoïdes vivant au détriment du plus grand nombre, il existe aussi des créatures moins belliqueuses. Discrètement, elles tissent une toile dont la chaîne est faite de leur idéal (un monde respirable pour les poumons et l’âme) et la trame, du réalisme nécessaire à la réalisation de cet idéal. Quel est donc l’élément capable de conférer à ces êtres la volonté et l’énergie leur permettant d’échapper aux modèles toxiques célébrés par des philistins sans scrupules? Il s’agit de la conscience à laquelle ils sont reliés.
◆ La conscience extraneuronale
Il s’agit ici de cette conscience dont on commence enfin à reconnaître qu’elle est extérieure au cerveau. Que cette idée ne convienne pas à la communauté scientifique standard, peu importe. À la suite d’observations et d’expérimentations de plus en plus nombreuses et élaborées, les faits sont maintenant établis, notamment par des neurochirurgiens comme Eben Alexander et Pim Van Lommel, matérialistes en diable… avant d’avoir vécu une expérience de mort imminente. Les études qu’ils mènent actuellement sont catégoriques : il n’y a pas d’origine biologique à la conscience ; elle n’est pas localisée dans le corps ; elle n’est pas le produit de réactions physico-chimiques du cerveau ni de l’activité neuronale ; le cerveau est l’émetteur- récepteur, transmetteur d’une réalité omniprésente dont il n’est pas la source. Ce constat (établi depuis des millénaires, nous le verrons) est confirmé par la physique la plus en pointe. Les enjeux ne sont pas anodins : si notre conscience est de même nature que la conscience commune à tout ce qui constitue l’Univers (conscience cosmique), alors nous sommes capables d’entrer en communication et d’interagir avec TOUT…
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